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Lazarus Peverell


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Lazarus Peverell

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MessageSujet: VOID.   VOID. EmptyDim 25 Oct - 15:36

Lazarus Bartholom Peverell
Et alors il s’est passé quelque chose, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était cela la liberté.


Raciste, homophobe, sexiste, l'ouverture d'esprit personnifié Ϟ deux visages, deux âmes Ϟ ne dit jamais réellement ce qu'il pense Ϟ manipule son monde sans aucun scrupule Ϟ charismatique, bonne orateur, a la politique dans le sang Ϟ psychopathe diagnostiqué, il ne ressent rien Ϟ n'a jamais tuer personne, et si refuse, trop compliqué d'effacer ses traces, une erreur est si vite arrivé Ϟ se répugne à la violence, s'est s’abaisser au niveau d'un moldu Ϟ est d'une froideur glacial et d'un sang froid inimaginable Ϟ a perdu ses deux dernières femmes, la première dans un suicide, la deuxième dans la maladie. maudit peut-être.
NOM COMPLET Ϟ lazarus bartholom peverell, un nom de pouvoir, un nom de roi.
ÂGE Ϟ quarante-sept ans.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE Ϟ le trente mai mille-neuf-cent-soixante-huit à st mungo's hospital.
ORIGINES & NATIONALITÉ Ϟ fier britannique depuis des générations.
STATUT DU SANG Ϟ sang pur.
ORIENTATION SEXUELLE Ϟ il n'aime qui les femmes, osez dire le contraire serait une insulte.
STATUT CIVIL Ϟ veuf pour la deuxième fois.
OCCUPATION Ϟ ancien chef du département de la coopération magique internationale. ministre de la magie depuis trois ans.
ANCIENNE MAISON Ϟ serdaigle, fierté de sa famille, valeur véhiculé depuis des générations.
BAGUETTE Ϟ bois de saule, ventricule de dragon, trente-six centimètre, rigide.
PATRONUS Ϟ un caracal, le solitaire.
EPOUVENTARD Ϟ une palette de couleur, stupide n'est-ce pas ? l'image poétique des émotions. triste, non ? d'avoir peur de ressentir.
AMORTENTIA Ϟ l'odeur de son bureau de ministre, celle de la neige, et celle de la mer en hiver.
MIROIR DU RISED Ϟ lui, sur un trône, une couronne en or massif sur la tête.
GROUPE Ϟ protection.

Que penses-tu du statut du sang chez les sorciers ? Qu'as-tu à dire sur la première guerre ?
Les moldus, ses êtres infâmes, ses sous-races, ses inférieurs. Il ne mérite même pas de respirer le même air. Pire ils peuvent accéder à la même éducation, espéré briguer des places importantes. Comme si la première guerre ne leur avait pas servit de leçon. Comme s'ils ne se rendaient pas compte qu'ils sont une nuisance, et que c'est notre devoir de les éradiquer. Et ils servent d'abomination pour nous attaquer, tuer nos filles, nos fils, nos femmes. Alors que nous les tolérons, les acceptons. Voilà comment notre patience, notre clémence est récompensé. N'attaquer pas les nôtres, et nous n'attaqueront pas les votre. Foutaise.
Que penses-tu du système des îles et de la ségrégation qui en suit ? Sur quelle île passerais-tu tes vacances ?
Un écran de fumé pour cacher le vrai problème. Toi, tu le sais si bien, dans ton grand bureau avec ta bonne bouteille d’hydromel, et ta pile de dossier qui ne fait qu'augmenter. Alors t'allumes un cigare, tu dis à ta secrétaire que personne ne te dérange, et tu regarde pas la fenêtre. Tu vois de ta haute tours cette masse rampante, priant pour que demain soit un jour meilleur, et tu souris te répétant des malheurs du monde. Ton seul éclair de joie dans cet océan de vide. Si seulement tu savais ce que c'était. La joie, le bonheur.
Que penses-tu de la saga et des problèmes qu'elle a générée dans le monde sorcier ? Qu'as-tu ressenti lorsque tu as apprit le massacre des Jedusor ?
Cette femme, oh oui, cette femme tu l'aurais fait décapiter sur place publique si t'en avait le pouvoir. Oser, braver la seule loi qui régissait réellement notre monde. Ne jamais rien dire. Se permettre de faire ça, sans demander l'avis des autres, et mettre en danger tout ce qu'ils avaient construit depuis des siècles. Et voilà qu'à cause d'elle, ils sont mort. Ils n'étaient pas les plus purs, mais ils étaient des grands. Presque les seuls qui avaient mérités de s’asseoir à sa table. Certes leurs idées ne correspondaient pas aux tiennes, et voyez où ça les a mené. Ils ont toujours soutenue ce qui les ont mis au bûcher. Pauvres Idiots.
Que penses-tu du massacre des moldus et quelle peine penses-tu que les assassins devraient recevoir ?
Une bonne chose. Ses êtres osaient transformer des siècles de traditions, en simple folklore, en blague marrante. Une insulte de plus que personne ne pouvait encore tolérer. Certes en tant que ministre de la magie, il se devait de les punir d'oser dire que tuer ce n'est pas bien, proclamer un discours de paix, et d'amour. Connerie. Il n'était pas un foutu druide dans sa forêt. Mou, amorphe, et sans aucune volonté. Il était un Peverell, quand une situation difficile se présentait, il se devait de prendre une décision, la bonne, et qu'importe à quel point elle est difficile à prendre.


ft. nikolaj coster waldau
Nous sommes tous promis à la mort, tous sans exceptions. Mais pour certains parfois la ligne verte semble bien longue.
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Lazarus Peverell


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Lazarus Peverell

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MessageSujet: Re: VOID.   VOID. EmptyDim 25 Oct - 15:43

Perte
J’ai entendu une blague un jour : un homme va chez le toubib, dit qu’il est déprimé, la vie lui parait dure et cruelle. Il dit qu’il se sent tout seul dans un monde menaçant. Le toubib dit : « le remède est simple, le grand clown Paillasse est en ville. Allez le voir, ça vous remontera. » L’homme éclate en sanglots : « mais docteur, qu’il dit, je suis Paillasse. »
Bonne blague, tout le monde rigole, roulements de tambour, rideau.


La psychopathie (des mots grecs : psyche, ψυχή (« esprit, âme ») et pathos, πάθος (« souffrance, changement accidentel ») est un trouble de la personnalité caractérisé par un comportement antisocial, un manque de remords et un manque de « comportements humains ». Un vide absolu, une absence de conscience et de sentiment envers autrui et envers soi-même. Une annihilé totale. Il n'existe aucun consensus concernant le critère symptomatique, ni le cause de cette maladie.

Il court, de plus en plus vite, dans les tunnels qu'est cet appartement. Il panique, son cœur bat à cent à l'heure. Elle devait être ici. Elle ne pouvait pas être autre part. Elle lui avait promis qu'elle serait là quand il rentrerait. Elle lui avait même sourit pour la première fois depuis des mois. Il arriva enfin dans un couloir, le dernier. Une odeur métallique se rependait. Et sous le porte ça dégoulinait. Bordeaux. Bordeaux. Il ouvrit la porte à la volée. Elle était là. Dans la baignoire.  Il se jeta sur elle, se barbouillant de rouge. Ses jambes, son torse, ses cheveux, son visage. « Amalia ! AMALIA ! REVIENS-MOI ! Mon amour ! Mon amour ! S'il te plaît, je t'en supplie, reviens. NON ! NON ! » Des larmes brûlantes coulaient sur ses joues pâles comme la mort. Pourtant, elle était dans ses bras, le roi des aulnes l'avait déjà rattrapé. Et de ses doigts décharnés lui avait pris la seule personne qui importait. La salle de bain si blanche n'était plus que rouge. L'eau sanglante débordait et s'écoulait sur le marbre.  Trop tard. Trop tard. C'est de ta faute. Rien que de ta faute. Toi et ton incapacité à accepter la différence, à accepter qu'elle n'était pas sorcière. Toi qui l'a envoyer au loin. Qui l'a déclaré morte, aux yeux du monde. Votre fille, votre propre enfant, le fruit de vos entrailles. Et Amalia, ta douce, et belle Amalia qui n'a jamais pu l'accepter. Regarde-la. REGARDE-LA. Sa carcasse dans tes bras. C'est toi qui l'a tué. Tu lui aurait tranché toi-même les veines ça aurait été la même chose. C'est toi, toi, toi, mon toi. Et tu vivras avec cette culpabilité toute ta vie. Tu es maudit, Lazarus. Ce rire résonne dans sa tête. Assourdissant. Éteint-la. Éteint-la. ÉTEINT-LA.

Silence. Seule le bruit des tapotements du liquide qui s'écoule de robinet. Et dans ton esprit, plus rien. Juste le vide.

Il le ferme. Froid glacial. Il tremble de tous ses membres, attrape difficilement une cigarette, et l'allume. « Mon amour, c'est fini. C'est fini. Dors. » Sa voix est cassée, brisée. Comme ton âme. Elle ne se réveillera jamais. Elle ne l'embrassera plus avant qu'il parte au travail, elle ne glissera plus ses mains dans ses cheveux, elle ne rira plus jamais à ses blagues, elle ne sera plus jamais chaude sous lui. Dans ses yeux bleus, plus de vie s'opère. Et dans les siens, le même vide. Elle est enfin éteinte, sa conscience. Décédé comme elle.  

Difficile aujourd'hui de connaître les mécanismes qui provoquent l'apparition des psychopathies.  Cependant, on souligne tout de même une influence des facteurs environnementaux et familiaux. Ainsi que les chocs graves, et traumatismes émotionnels.


Justice is coming to all of us. No matter what we do.
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