femme forte et indépendante, c'est un esprit libre, elle ne supporte pas qu'on lui dicte sa conduite Ϟ les règles et les lois des mœurs ne l'intéressent guère Ϟ ne boit que du vin rouge Ϟ sur son nez de légère trace sont constamment présente Ϟ ne supporte pas qu'un homme se montre sexiste avec elle Ϟ s'entend plutôt mal avec les femmes en règle général Ϟ refuse de vieillir, et use de tous les stratagème possible pour l'évité Ϟ prends dès qu'elle le peut un bain remplis de sang de vierge Ϟ a un nombre incalculable de meurtre sur sa conscience Ϟ se dresse toujours de robe et de parure excentrique Ϟ est connue pour son côté diva, et son goût du scandale.
NOM COMPLET Ϟ éléonor diggory, aînée de sa famille. ÂGE Ϟ trente-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Ϟ premier avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-un. ORIGINES & NATIONALITÉ Ϟ anglaise de sang, et de cœur, certains lui prêtent des origines françaises de par sa nature de semi-vélane. STATUT DU SANG Ϟ sang-mêlé depuis des générations, les diggory sont l'une des familles les plus puissantes du pays, ayant fait fortune dans les coffres-forts. ORIENTATION SEXUELLE Ϟ elle n'aime que les hommes, et leur membre tumescent de désire. STATUT CIVIL Ϟ célibataire depuis des années, elle n'a jamais accepter de se marier malgré la pression de son entourage et de la société sorcière. OCCUPATION Ϟ actionnaire majoritaire de l'entreprise diggory, leadeur mondial des coffres-forts en tout genre. ANCIENNE MAISON Ϟ gryffondor. BAGUETTE Ϟ très flexible, bois de rose, crin de licorne, trente-cinq centimètre. PATRONUS Ϟ un paon. EPOUVENTARD Ϟ une balance, et un marteau. le poids de la justice, et de ses crimes qu'un jour, elle devra payer. AMORTENTIA Ϟ l'odeur du sang, du sperme, et d'une cave humide. MIROIR DU RISED Ϟ elle éternellement jeune. GROUPE Ϟ justice.
Que penses-tu du statut du sang chez les sorciers ? Qu'as-tu à dire sur la première guerre ? Ce n'était qu'une enfant, enfermé dans son château, telle Raiponce lançant sa belle chevelure pour qu'on vienne la délivrer. Elle ne voyait rien de ne comprenait rien. Juste la haine. Rien que de la haine. Même dans le conte, la tour est détruite, réduit en cendre. Et cette prison qui paraissait si effrayante se retrouvait être d'une chaleur sécurisante, et le reste du monde n'est plus que sang, et poussière. « Maman ! Maman ! Reviens Maman ! » « Je reviendrai ma chérie, je reviendrai. Reste là, reste caché. » Raiponce se tait, chuchote doucement le nom de sa mère, avance dans ces ruines qui ne sont plus que son ancienne innocence. Raiponce est rouge, barbouillée. Une princesse sur une pille de cadavre.
Que penses-tu du système des îles et de la ségrégation qui en suit ? Sur quelle île passerais-tu tes vacances ? Qu'importe la solution, qu'importe les compromis. Rien ne vaudra ce que tu as perdu, Eléonor. Rien. Tu te souviens encore de Noël, ce noël, juste avant le drame. Tous unis, tous heureux. Tu vois leur visage, leur sourire. Et cette chaleur, ce chaud qui te prenait les entrailles. Tu ne l'as plus jamais retrouver, n'est-ce pas ? Sauf quand le sang tiède de tes victimes touchait ta peau translucide. Et le reste du temps, ce vide. Froid, glacial, inhumain. Tu ne rêve que de ça, non ? Retrouver ce feu hardent qu'il y a si longtemps brûlait encore au fond de toi.
Que penses-tu de la saga et des problèmes qu'elle a générée dans le monde sorcier ? Qu'as-tu ressenti lorsque tu as apprit le massacre des Jedusor ? Quel saga ? Quel livre ? Tu souris, tu regardes, les gens ont l'air étonné. Comment peut-elle être aussi coupé du monde ? Comment peut-elle en avoir aussi peu à faire ? Ignorante, inconsciente. Elle aurait du crever avec le reste de sa famille. Son père, oh oui, lui son père en aurait eut quelque chose à faire, il aurait taper du point sur la table. Et sa mère, elle aurait alerté tout le monde. Des gens biens, ses deux là. Et sa sœur si brillante, elle, elle savait où était sa place. Oh oui, je vous l'avait dit ce n'est que la pomme pourrie qui a survécu. Pauvre famille Diggory. Une si grande institution.
Que penses-tu du massacre des moldus et quelle peine penses-tu que les assassins devraient recevoir ? Tu rigoles la gorge déployée. Dans cette sphère de mondanité, tu évolue comme une reine, cet électron libre dont que tout le monde aime médire mais ne peut contredire. Cette Sang-mêlé aussi puissante que les purs. Alors quand tu oses de tes grands yeux de biche, de ta bouche peinturlurée affirmer qu'ils devraient être jugés, qu'on devrait faire confiance au ministère. Ils te regardent ses regards hypocrites, te souriant, acquiescement vivement. Et toi, tu ris devant leur simagrée, leur fausseté. Tu imagines déjà ce que ça serait de voir cette lueur disparaître sous tes doigts.
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Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.
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Morticia Diggory
Sujet: Re: CHAOS. Dim 25 Oct - 15:48
Ode à la désuétude
Et toutes les putes et les politiciens lèveront la tête et crieront : « sauvez-nous ». Et dans un murmure je dirai « non ».
Les gens ne deviennent pas fou sans raison. L'esprit humaine n'est qu'un amas de chair et de sang. Un système nerveux tellement bien huilé que même en deux milles ans de science, et Merlin sait combien de grand génie y ont porté intérêt, il reste des coins d'ombre, des incertitudes profondes. Sauf celle-ci, personne ne se perd à ce point pour rien. Certes parfois la génétique, l'héréditaire entre jeu. Mais n'est-ce pas une raison en soit ? La folie n'est pas une action divine, un acte dont seul dieu est responsable. La folie c'est pas quelque chose de cool, quelque chose de drôle, ou encore moins quelque chose de sympathique. C'est un mal qui vous ronge, doucement, jusqu'à ce qu'il ne reste rien. Qu'un jour vous vous regarder dans le miroir et vous dites : « est-ce vraiment moi ? » Pas parce que vous avez fait de mauvaise action et que ça vous déchire la conscience avec une hypocrisie sans nom. Non, dans ses situation là, c'est juste un problème acceptation que vous n'êtes une si bonne personne que ça, que vous n'êtes pas moralement irréprochable, et que comme tout humain normal vous avez des failles, et que vous faîtes des erreurs. Non, vous n'avez pas la science infuse, non, votre solution n'est pas forcément la bonne. Le complexe de Dieu, je crois que ça s'appelle comme ça. Excusez-moi, je digresse. Ce dont je vous parle aujourd'hui, c'est quand dans cette surface glacé, le reflet que vous voyez ce n'est pas vous, parce que vous savez que ce comportement n'est pas normal. Pas dans le sens personnalité du terme. Dans le sens humain. Personne, même abrogé des mœurs et coutumes ne pourrait faire quelque chose de pareil. S'abreuver de la giclé chaude de la carotide d'un enfant ou même jouir de la sensation de voir la vie d'une pauvre gamine de quatorze ans s'envoler n'est pas ce que n'importe qui pourrait faire. Je suis très loin de les glorifier, encore plus loin de les aduler. Qui le serais-je pour prétendre une chose pareille ? Je suis comme eux. Je me prélasse dans cet amas de luxure, de débauche mentale. Je l'accepte, l'avale, et le vomis avec un sourire sur mes lèvres carmins. J'aime ça. Non, non, j'adore ça. Je le vie, je le respire. De pauvres hommes bien pensants disent que d'admettre que nous avons un problème est le premier pas vers la guérison. Mais que faire quand le malade refuse le traitement ? Qu'il se complet dans sa déchéance ? Rien. Rien. Rien. Car lui, seul est maître de son destin. On pourrait dire qu'il n'est pas dans son état normal, qu'on doit agir contre son gré pour son bien. Mais si cet état est le seul qu'il n'a jamais connu, alors peut-être que cet soit-disant sainteté d'esprit est sa maladie ? Et qu tout ce que vous chercher à faire est de guérir quelqu'un qui n'en a pas besoin. Allez soigner vos enfants crevant du SIDA dans le tiers-monde, allez sauver vos banquises fondus. Et laissez-moi, rire, être heureuse, dans mon temple de cadavre.
Qui sait, peut-être me remerciez-vous à la fin, d'avoir osez tuer cette foutue grand-mère qui vous emmerdait tous les dimanches se plaignant allégrement de sa vie passée, et que votre si bonne moral vous empêcher de mettre fin à ses souffrances.
J’ai couru... J’ai couru jusqu’à sentir tous mes muscles brûler, jusqu’à sentir dans mes veines de l’acide sulfurique à la place du sang. Puis, j’ai couru encore.
CHAOS.
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Les gens ne deviennent pas fou sans raison. L'esprit humaine n'est qu'un amas de chair et de sang. Un système nerveux tellement bien huilé que même en deux milles ans de science, et Merlin sait combien de grand génie y ont porté intérêt, il reste des coins d'ombre, des incertitudes profondes. Sauf celle-ci, personne ne se perd à ce point pour rien. Certes parfois la génétique, l'héréditaire entre jeu. Mais n'est-ce pas une raison en soit ? La folie n'est pas une action divine, un acte dont seul dieu est responsable. La folie c'est pas quelque chose de cool, quelque chose de drôle, ou encore moins quelque chose de sympathique. C'est un mal qui vous ronge, doucement, jusqu'à ce qu'il ne reste rien. Qu'un jour vous vous regarder dans le miroir et vous dites : « est-ce vraiment moi ? » Pas parce que vous avez fait de mauvaise action et que ça vous déchire la conscience avec une hypocrisie sans nom. Non, dans ses situation là, c'est juste un problème acceptation que vous n'êtes une si bonne personne que ça, que vous n'êtes pas moralement irréprochable, et que comme tout humain normal vous avez des failles, et que vous faîtes des erreurs. Non, vous n'avez pas la science infuse, non, votre solution n'est pas forcément la bonne. Le complexe de Dieu, je crois que ça s'appelle comme ça. Excusez-moi, je digresse. Ce dont je vous parle aujourd'hui, c'est quand dans cette surface glacé, le reflet que vous voyez ce n'est pas vous, parce que vous savez que ce comportement n'est pas normal. Pas dans le sens personnalité du terme. Dans le sens humain. Personne, même abrogé des mœurs et coutumes ne pourrait faire quelque chose de pareil. S'abreuver de la giclé chaude de la carotide d'un enfant ou même jouir de la sensation de voir la vie d'une pauvre gamine de quatorze ans s'envoler n'est pas ce que n'importe qui pourrait faire. Je suis très loin de les glorifier, encore plus loin de les aduler. Qui le serais-je pour prétendre une chose pareille ? Je suis comme eux. Je me prélasse dans cet amas de luxure, de débauche mentale. Je l'accepte, l'avale, et le vomis avec un sourire sur mes lèvres carmins. J'aime ça. Non, non, j'adore ça. Je le vie, je le respire. De pauvres hommes bien pensants disent que d'admettre que nous avons un problème est le premier pas vers la guérison. Mais que faire quand le malade refuse le traitement ? Qu'il se complet dans sa déchéance ? Rien. Rien. Rien. Car lui, seul est maître de son destin. On pourrait dire qu'il n'est pas dans son état normal, qu'on doit agir contre son gré pour son bien. Mais si cet état est le seul qu'il n'a jamais connu, alors peut-être que cet soit-disant sainteté d'esprit est sa maladie ? Et qu tout ce que vous chercher à faire est de guérir quelqu'un qui n'en a pas besoin. Allez soigner vos enfants crevant du SIDA dans le tiers-monde, allez sauver vos banquises fondus. Et laissez-moi, rire, être heureuse, dans mon temple de cadavre.